Censure et coups tordus aux USA
Mes amis du journal Morpheus étaient inquiets pour moi de ma tournée aux USA. Au début je n’ai rien noté de particulier. J’étais invité par des conférences organisées par des amis, c’était plutôt cool. Là où j’ai commencé avoir des soupçons c’est quand je suis allé aux conférences plus grand public. Déjà la première, XY qui m’accompagnait connaissait le propriétaire de la conférence Rao, un riche entrepreneur du secteur pharmaceutique. XY aurait aimé se faire embaucher comme directeur de rédaction d’un magazine UFO que Rao projetait de mettre en place. Malgré cette apparente bonne relation, XY n’optient pas de créneau pour une présentation du bouquin, ni même une réduction du prix du stand… lors de l’entrevue mon ressenti était que je ne faisais pas partie de la clique autorisée.
Ultérieurement, lors de ma dernière tournée aux US, à Phénix le même Rao organisa une grande conférence. A ma grande surprise, Rao m’invita avec Pat, un organisateur de conférences détenteur d’une très impressionnante collection de livres ufologiques. Ma cote aurait-elle monté ? J’allais être vite fixé. L’année précédente je n’étais pas venu, car le comité du festival avait refusé mon film Présence soi-disant arrivé un jour trop tard… (est-ce qu’on peut dire bandes d’enculés de fils de putes ou c’est un gros mot ?) Là, pour cette année j’avais donc 364 jours d’avance. J’allais donc être fixé rapidement : à 21 h toute la zone devenait déserte seuls quelques noctambules prenaient encore un verre par-ci par-là. Et mon film fut programmé à 22 h… (je peux le redire truc d’avant ?). Le summum était-il atteint, ou le record pouvait-il être battu ? Bingo ! Je passe à librairie de la conférence où j’avais déposé un stock de DVD du film. Il y en avait à côté de la caisse, ils partaient comme des petits pains, les gens étaient intrigués par la jaquette. Cool ! Au moins une bonne nouvelle. Je repasse un peu plus tard, plus de DVD. Je demande à la caissière s’il faut que je fasse le réapprovisionnement ? Là, elle met le nez dans ses chaussures… Je la cuisine, et elle finit par avouer que « on » lui a dit de planquer les DVD hors de la vue du public… Rao, me paiera tout mon stock de DVD pour qu’ils ne soient pas diffusés, quel gentleman…
Evoquons maintenant, le fameux docteur Leir, qui parlait d’implants extraits sur des patients, il vient au stand. Le bouquin du premier Présence ayant une couverture avec un E.T. bien identifié, je pensais qu’il souhaitait des informations ou des explications. Non, il venait nous vendre les T-shirts de l’équipe de basket de son petit-fils… Là, je me suis dit, y a un truc ! Je pense Leir n’était pas clean, il a peut-être réellement identifié des implants extra-terrestres sur des patients, mais il me paraît évident qu’il fait un marché avec la CIA pour ne dire que ce qu’on lui disait de dire.
Nous avons rencontré pas mal de charlatans manifestes, qui essayaient de vendre des histoires plus ou moins crédibles.
Il y a avait Travis Walton à cette première conférence. Personnage connu de toute l’ufologie US, presque autant que Betty et Barney Hill dans les années 60. Au début, j’ai cru que s’était aussi affabulateur, le type avait l’air prétentieux et distant. En fait, je n’arrêterais pas de le croiser à toutes mes conférences. A Roswell je lui donnais un bouquin, qu’il prit sans commentaire. Il était seul à son stand, éteint, même pas prétentieux cette fois. Il vint ultérieurement chez mon amie Patty, du côté de Princeton et fut plus loquace. Il avait de vagues souvenirs de ce qui lui était arrivé, dans l’engin il se rappelait de 2 types d’êtres, disons des Grands Gris (1,60 m) et des Grands Blonds, genre Nordiques vraiment grands. Ce n’étaient pas des Oummains, car je pense qu’ils auraient parlé de cet accident. En tout cas Walton avait peur de faire de l’hypnose et découvrir des choses qui le dépassaient, manifestement il avait sa dose.
Pour mémoire, ce bûcheron et ses compagnons terminent leur journée et voient une zone de la forêt où il semble y avoir un incendie. Ils s’y rendent en voiture, mais quand ils arrivent ils trouvent à une bonne hauteur au-dessus des arbres un vaisseau de taille importante émettant ces couleurs rougeoyantes. Travis Walton n’est pas quelqu’un que j’appellerais futé, futé. Il va sous le vaisseau en gesticulant. Le vaisseau descend et le détectant l’éjecte de la zone soit par une manœuvre d’urgence, soit accidentellement. Il fait un vol plané d’une 30aine de mètres et va s’écraser dans les rochers. Les autres prennent peur et se débinent, en bons camarades. Après, plusieurs heures ils reviennent avec quelques scrupules, mais il n’y a plus rien, plus de Travis Walton non plus. Ils regagnent la ville, le shérif apprend l’histoire, tout le monde retourne sur les lieux, et les bûcherons sont arrêtés pour suspicion d’homicide. Une semaine plus tard à quelques kilomètres de là, Travis Walton réapparaît nu comme un vers sur le bord d’une route à côté d’une station-service.
Bon, en commençant stupide et en finissant ridicule, ça ne s’invente pas. D’ailleurs, ayant des témoins, n’ayant jamais changé l’histoire de son retour, et lui comme à pas mal des gens qui impliqués dans des histoires d’extra-terrestres ça l’a conduit rapidement au divorce. Tout ceci me fit conclure à la véracité de l’histoire.
La première conférence de Laughlin fut quand même l’occasion de rencontres inédites. Pas mal de visites sur mon stand, des curieux et curieuses, mais aussi mon ami Clifford Mahooty que j’irais voir ensuite à Zuni Pueblo au Nouveaux Mexique 2 ans après. Clifford Mahooty est le Elder Chaman, le chef de la tribu des Ashiwi, ou Zuni pour les Américains. Il y a notre photo dans Presence 3. Clifford se présente devant mon stand avec son air sévère. Et identifie immédiatement le livre. Bien qu’il ne puisse pas savoir si c’est moi ou XY qu’il a l’écrit, c’est sans hésiter à moi qu’il fait signe pour que je vienne le voir devant le stand. J’étais un peu sur la réserve, car il vraiment l’air austère. Et, là ma grande stupéfaction il me Hugh dans ses bras en me disant « brother ». Là, sans rien savoir du gars, y a pas de doute, tu sais que le garçon il a vu des trucs…
Une autre rencontre, plus cocasse celle-ci, sur cette conférence de Laughlin. Tous les jours de la semaine de ce salon, un gars qui tenait un stand de bouquins Ufo plus loin, d’une cinquantaine d’années, parfois vêtu en Batman, ou je ne sais quel super héros de comics ridicule, venait à mon stand et lisait quelques pages du bouquin et repartait. A la fin de la semaine, je l’alpague. Là il me raconte que toute sa vie il avait cherché une explication à ce qu’il avait vu enfant. Et que lui qui vendait des bouquins ufo n’avait jamais rien lu de tel, il était soufflé. Bon, comme il n’avait probablement pas un flèche en poche, je lui ai évidemment filé le bouquin…
Un autre jour, mais cette fois à une conférence à San Francisco que j’avais faite avec mon pote Djamel, j’ai vu débarquer un autre genre de personne : Bill Jervis, propriétaire d’une clinique de chirurgie esthétique, un autre grand collectionneur de livre d’ufologie. Je n’ai pas trop compris ce qu’il m’a raconté car il parlait trop vite pour moi, mais il était enchanté de me voir être venu ici à San Francisco, et en plus j’allais parler au panel (je ne le savais pas, mais c’est pour le gratin des conférenciers, s’il te plaît !) et donc il me donnait 2 beaux livres d’éditions limitée des photos assez rapprochées et très nettes du Suisse Billy Meier.
A la 2ième conférence de Roswell, il y avait un exposant auteur de bouquins assez gore d’E.T. et hybridations. J’avais déjà les informations confirmant que de telles manipulations génétiques, ne pouvaient en aucun cas conduire à une hybridation viable. Mais le type était rigolard est venu sympathiser, il rêvait de venir à Paris, bla-bla. Et, après quelques jours de salon, il me dit qu’il travaillait pour la CIA, sans rentrer dans les détails. Mais pour le dernier jour du salon, il vint avec sa chemise de la CIA (il ne la garda pas longtemps).
La première fois que je suis arrivé à Roswell allait être la dernière année du fameux festival E.T. Je invité à la fois au Roswell Museum par Julie Shuster pour exposer et donner une conférence et par son rival à Roswell, Peter Robbins au Parc des Expositions aussi pour exposer. Au Roswell Museum on retrouve l’inénarrable Uncle Stan, Stanton Friedman diplômé physique nucléaire des années 50, probablement appointé par la CIA pour tourner en rond. Thomas Carey et Don Schmitt deux gars plutôt sympas, intéressés par le sujet qui publient régulièrement des ouvrages qui ont un peu tous un air de ressemblance, difficile de se renouveler… Je dois dire que Julie et Peter m’ont l’un et l’autre très bien reçu et soutenu. Malheureusement leur rivalité les conduira tous les deux au K.O., la ville trouvant là un prétexte pour annuler ce sympathique festival E.T. l’année suivante pour un festival country-tex-mex barbecue…
Parmis, les bons souvenirs des USA, de retour à Los Angeles, il est décidé avec quelques amis du groupe de musique d’aller à la plage. J’avais mis et mes T-shirts avec la belle soucoupe jaune, et avant même d’être installés sur le sable, des jeunes viennent. Là, ils s’approchent de moi et commencent à m’expliquer qu’ils y a des ovnis au large qui entrent et sortent d’une base sous-marine… ce que nous savons être vrai… Je ne regrette pas mon investissement T-shirt… pour l’instant !
Pour conclure, après 20 ans de censure et de coups tordus, je vais vous narrer la première fois où je m’en suis rendu compte. Au collège, à l’époque en 6ième je devais avoir 11 ans, comme je m’intéressais à tout se qui touchait la science, j’avais lu divers bouquins sur le sujet. Les livres étaient plus ou moins bien faits, mais le dénominateur commun c’est que livres égrenaient des témoignages de cas en telle quantité, qu’il était impossible de nier l’existence de la présence E.T. contrairement à ce disaient, non seulement les médias, mais (soi-disant) tous les scientifiques. J’ai donc suspecté une censure de grande ampleur impliquant les politiques, les scientifiques et les médias.
Un ou 2 ans après, la prof de français nous demande de faire des exposés sur un thème de notre choix, pour présentation orale. Je suis le premier de la liste, et je présente un travail sur la détection des messages E.T. par le radiotélescope de Green Bank et je développe le thème qui enthousiasme la classe. Ce fut le dernier exposé de tout le collège.
GR1-2 16/09/2011
… d’officines de Défense USA et de détruire la pratiquement totalité (autant analogique que digitale) des rapports qui faisaient allusion à notre présence sur OYAGAA. Figuraient dans ces rapports les noms et des informations exhaustives de nombre d’entre Vous.
Drôles de coïncidences
Mais, revenons un bref moment en arrière pour comprendre la suite. Autour 1993, mon ex-patron et ami Daniel m’avait recruté pour une mission de développement pour le Parlement Européen, comme nous étions les clampins au bout d’une chaîne de 7 intermédiaires, nous étions les seuls à bosser vraiment et nous avons fini le travail 1 mois en avance. Du coup, nous avions du temps libre du discuter. Daniel était un polytechnicien atypique. Il avait fait ses 10 ans pour l’armée comme spécialiste de la balistique des missiles nucléaires. Daniel crée le groupe Sistema avec des amis de polytechnique. A l’origine il s’agit des recherches sur la Théorie des systèmes. Puis de fil en aiguille, le groupe s’intéresse aux ovnis. Ils prennent contact avec des personnes identifiées sur ce sujet à l’époque. Il y a par exemple, des ufologues comme Aimé Michel ou René Fouéré qui reçoivent une lettre en français expédiée depuis Berlin et référencée par Ignacio Darnaude sous le n° D84 du 4 septembre 1969 et consultable sur le site Ummo-sciences. René Fouéré pensait qu’il s’agissait d’une « manœuvre policière », mais Aimé Michel était beaucoup plus loquace. Il s’en expliqua à un petit groupe de polytechniciens de mes amis qui enquêtait en catimini sur les ovnis. Ils purent constater que la lettre provenait d’une microfiche. Dans les années 70 ce matériel n’était guère accessible à des particuliers, d’autre part, l’on pouvait aisément supposer que sur la microfiche d’origine devait se trouver une quantité importante de documents… Finalement, la plupart des personnes de ce petit groupe d’enquête informel de l’intelligentsia française furent littéralement terrorisées face à l’ampleur de ce qu’ils pressentaient avoir découvert et stoppèrent net toutes leurs investigations.
En 2002, après l’an 2000 et le passage à l’euro, il y a trop d’informaticiens programmeurs sur le marché. Bernard, mon ex-patron, qui sera un ami, me case sur une mission de technicien support chez un grand compte. Il n’y a pas trop de boulot et je décide de reprendre le suivi des observations d’ovnis. Je suis les dépêches publiées par l’AFP qui ne sont jamais relayées dans la presse. A l’époque l’AFP avait vraiment un rôle de service public, pas comme en 2020 où l’AFP est devenue une officine privée de racket sur le droit à l’image.
En utilisant un des premiers moteurs de recherche sur internet, tombe sur site ummo-sciences, nouvellement créé. Les documents attirent mon attention. Daniel m’avait parlé de photocopie de documents très compliqués qu’il ne comprenait pas. Je ne les avais pas vus, mais je présumai un lien qui s’avéra exact. C’est de ces documents qu’il s’agissait. Il y avait peu de gens sur la liste de diffusion, une 10ne de personnes.
Voir Présence 2, chapitre À la découverte du langage Oummain.
Les débuts
Au fur et à mesure que je faisais des découvertes, jalousies, censure et coups tordus arrivaient. Pour résumer principaux les coups tordus :
En général Jean-Pierre Petit parle surtout bien de lui. Sur son site, il présente les choses à l’inverse, il a commencé à me débiner, ensuite je lui rappelé qu’il était payé avec l’argent du contribuable, et comme contribuables nous pouvons nous poser des questions sur l’origine réelle d’une incapacité qu’il déclara être due à un accident du travail, alors que plusieurs de ses amis confirmeront qu’il a par ailleurs aussi eu un accident de parapente. Bref, la nébuleuse de ce donneur de leçon…
Le monde n’est pas tout noir ou tout blanc….
http://oumo.fr/1936 Par DAV (en italique)
Pour donner un aperçu des activités publiques de Jean-Pierre Petit, je vais reprendre, sans modifier (bien que je ne sois pas forcément d’accord avec la vision polie et Bisounours de Dav), mais simplement compléter, un article écrit par Dav sur une interview par Nurea-tv de Jean-Pierre Petit.
Dav: Je trouve que c’est un peu abusif, ce sont des histoires qui remontent à des décennies, et qui englobent en fait au final de nombreuses personnes honnêtes et soucieuses de la vérité. Il y a beaucoup de ressentiment, mais je ne saurais dire ce qui l’a déclenché. En terme général, je regrette de n’avoir jamais parlé avec ce chercheur qui aura laissé son nom à l’histoire de la science.
Je suis poussé à réagir car il se confectionne sur internet une clique de gens qui réfutent la véracité des twits, et se rallient à un faussaire que nous avons finalement identifié. Et ceux-là, se rallient à JPP pour désavouer, finalement, les twits, dont JPP ne parle jamais.
Il n’y aurait pas un lien de cause à effet ? (le faussaire, JPP, la censure des Tweets par JJP)
Je veux juste revenir sur les points qui ont été développés :
En citant un exemple où il a fait face à une réticence à lui transmettre des documents, Jean-Pierre Petit déclare :
– « Il y a une espèce de mainmise sur le dossier Oummo ».
Je trouve étrange cette anecdote qui ne peut pas s’appliquer aux documents publiés sur les sites ummo-sciences.org et ummo-ciencias.org. S’agit-il de documents qui n’y sont pas publiés, ou l’ont-ils été depuis ce temps ?
En tous cas, non, il ne peut y avoir de mainmise sur des documents qui sont publics, je ne comprends pas cette accusation.
Il faisait sans doute référence à l’affaire des Copyrights, qui est abordée ensuite par l’animatrice car cela a été réfuté. En effet les copyrights avaient précisément pour objectif d’empêcher que quelqu’un ne « mette la main » sur des documents dont il était souhaitable qu’ils restent publics. A l’époque il n’existait pas les licences libres d’aujourd’hui, telles que Creative Common, mais maintenant cela revient au même puisque les documents sont connus.
1) J’ai été témoin et même partie prenante de cette histoire. Pour la comprendre, il faut remonter au début, chronologiquement. La reconstitution (hypothétique, mais très probable) est la suivante : Pollion va cirer les pompes à Petit pour avoir une préface pour son bouquin. Pour renvoyer l’ascenseur Pollion propose à Petit de participer à liste U-Sc. Evidement c’est faire rentrer le loup dans la bergerie. Petit veux évidement décider de tout… A commencer il décide que les lettres ne doivent pas avoir de copyright, patrimoine de l’humanité, bla-bla. Forcément André-Jacques Holbecq qui veut éviter les faux ne voit pas les choses comme ça…
A cette époque, je ne suis qu’un pauvre petit pinpin inconnu participant à la liste et comme je trouve tout le monde tellement sympathique, qu’il doit s’agir d’une incompréhension… je propose mes bons offices de Bisounours pour qu’il y ait un débat constructif… Aille, j’ai dit un gros mot…
Revenons sur le droit d’auteur, et donc le copyright. Si j’ai bien compris la loi, la seule personne qui puisse revendiquer un copyright c’est la personne qui a reçu de document U. qui est propriétaire et auteur de facto. Ensuite tout le reste ce sont des droits d’exploitation, licences, qui dépendent de ce que le propriétaire décide.
Plus tard, un certain Alain Djait, un toutou aliéné à Petit déposera un logo Ummo à l’INPI (dépôt irrelevant sans justification juridique) et essaiera ainsi de bloquer mes bouquins en me faisant du chantage. Je tiens à remercier de nouveau, toutes personnes qui m’ont soutenu dans cette affaire, Manuel Rotaeche en particulier.
2. Il continue en parlant de « tout cette bande, avec Jean Pollion, c’est lamentable ! ».
Il illustre cela avec l’affaire de la NR-19, où il se moque du « comité de validation ».
Comme j’en faisais partie, et que j’ai voté pour la crédibilité de cette lettre, je peux tenter de me défendre, un peu au nom des autres. Le comité de validation est constitué de personnes qui connaissent suffisamment le dossier pour pouvoir déceler des anomalies et des incohérences. Pour procéder on ne peut pas faire grand-chose de plus que de vérifier ce qui colle avec les données qui sont déjà en notre possession, et qui sont publiques. Donc ce n’est pas facile et le risque de se tromper est grand, puisque nous avons les mêmes informations que tout le monde.
Pour ma part, je ne pensais pas que c’était possible qu’un plaisantin ce fût amusé à nous tromper uniquement pour prouver qu’il n’est pas vraiment très possible de détecter si une lettre est authentique. Cela, on le sait déjà. Simplement le but de ce conseil est d’éviter de publier des choses qui seraient vraiment trop grotesques, et qui auraient pu passer le filtre d’esprit critique d’une personne seule. On s’y mettant à plusieurs, on a plus de chances de l’éviter. Cela aurait été bien que JPP fasse partie de ce conseil et donne son avis. Qui dit qu’il ne se saurait pas trompé aussi ? Mais personne ne le lui aurait reproché.
Il y avait un autre exemple avec la « lettre du parapluie », que tout le monde a jugée fausse, sauf moi qui l’ai jugée authentique, parce qu’il est vraiment difficile et laborieux de créer en partant de rien autant de symboles et de nouveaux termes inconnus, surtout pour le seul Jordan Peña, qui en était l’auteur, ou le co-auteur, sur la base de documents réels. C’est toujours difficile d’être binaire en disant « vrai » ou « faux ».
2) NR-19. Il y a 2 personnes qui ont détecté la supercherie. Manuel Rotaeche et moi-même car le mot était incohérent suivant ma méthode décodage.
3. Sur la lettre du Golfe, il explique pourquoi il est quasiment certain qu’il s’agisse d’un faux. Les motifs qu’il cite pour cela sont certainement très vraisemblables, tout le monde ne s’y connaît pas aussi bien. Mon analyse personnelle me fait dire également qu’il y a d’affreux doutes sur son authenticité car aucune mention n’est faite des raisons qui ont poussé Saddam Hussein à lancer des Scuds contre Israël, à l’issue d’un ultimatum. On a vraiment l’impression que c’est écrit par la CIA.
Pourtant la lettre continue de faire partie du corpus des lettres « D » et non pas « FP » (Faussaire probable). Mais en même temps, d’autres éléments de validation dans cette longue lettre sont tout autant indubitables, et on ne peut pas les rejeter.
Ce mystère a été résolu par la déclamation suivante :
OAY-54
Q —D1751 authentique ?
R —Notre stratégie d’auto-discréditation implique la diffusion de certaines informations douteuses dans des lettres non nécessairement apocryphes.
4. Il enchaîne en disant « ce sont des branquignols », « le dossier est passé entre les mains de cons, tout simplement ».
Moi, mon avis est qu’il valait mieux, dans une phase de prise de conscience graduelle, de commencer par contacter des personnes humbles et curieuses, et suffisamment aptes à assimiler les informations qui leur étaient données.
Cependant au final, j’ai un peu le même sentiment, mais dit à l’envers : des personnes moyennes sont soudainement entrées en contact avec une information d’un haut niveau d’intérêt, et cela les a, à chaque fois, énormément aidées à progresser. Je ne pense pas que l’Oummoaelewe procède autrement que de façon néguentropique, en se disant qu’au pire, cela ne peut pas desservir de savoir ces choses. Ce sont des personnes moyennes qui savent des choses extraordinaires !
On accuse parfois la liste ummo-sciences d’être trop élitiste, et j’espère ne pas l’être à mon tour, mais ma principale remarque est que de penser comme cela, se dire que les gens sont divisés entre les intelligents et les imbéciles, est une volonté qui procède purement et simplement de l’élitisme. Dans la réalité, les gens sont mélangés, il y a de tout, et surtout il y a de toutes les sortes de compétences, dans autant de domaines différents. Tout le monde ne peut pas (ou n’a pas la chance) d’être un scientifique, mais ce n’est que de la chance, pas un mérite. D’autres sont meilleurs psychologues et d’autres sont de meilleurs logiciels. Et d’autres de meilleurs linguistes, et d’autres de meilleurs analystes. D’autres sont des archivistes méticuleux, et d’autres encore sont diplomates. C’est ensemble qu’on est bons, pas les uns contre les autres !
Cela, l’interaction avec Oummo sur Twitter nous l’a véritablement démontré, voire même carrément demandé. Eux, nous considèrent de façon collective, et non de façon individuelle. Et s’ils s’adressent aux uns et aux autres, c’est en s’adaptant à ce qu’ils peuvent comprendre.
5. JPP enchaîne ensuite sur le fait que le niveau scientifique est trop faible pour pouvoir prétendre avoir le droit de lire ces documents (j’exagère, mais c’est presque ça), mais depuis le début il est question dans les documents d’une approche intégrale de la science, incluant toutes les autres disciplines que la cosmologie. C’est une approche interdisciplinaire, et jamais ils ne prétendent désolidariser la compréhension d’une partie de la compréhension des autres parties, sur lesquelles, il faut le savoir, il existe de bien meilleurs spécialistes, bien plus sensibles, que JPP. La science n’est pas tout ! Chacun y trouve son compte, dans ces documents, en confrontant ce qu’il y trouve avec son expérience personnelle. Dans de nombreux cas, quand il s’agit de critiquer la manipulation médiatique, la tendance à la soumission, la critique du système social, ce sont autant de thèmes qui concernent autant de types de spécialistes.
Et le plus intéressant est comment tous ces thèmes sont poreux les uns avec les autres, comment ils peuvent s’interconnecter, en une compréhension globale.
5) Petit n’est pas un psychopathe, simplement il considère que les personnes qui ne maîtrisent pas Maths et/ou la Physique sont des sous M…….
Par exemple, à sup-aéro, quand il avait 25 ans, un de mes amis qui était le voisin du dessous de Petit dans la cité Universitaire, voit des coulées de peinture noire couler du plafond de ses WC. Il monte voir Petit qui affirme que « physiquement » ce n’est pas possible… Petit a peint en noir tous les murs de ses WC… Mais bon, Petit n’est pas un psychopathe…
Quelques années après son mariage, il divorce, sa femme ne comprenant rien à physique (j’décoonne… hummm ?) il sépare l’appartement avec une cloison dans la salle de séjour avec une chatière pour laisser passer les enfants, du coup ce n’était plus possible de faire de la balançoire dans le séjour… Mais bon, Petit n’est pas un psychopathe…
Comme disent les américains, clean dans la vie privée, clean dans le business…
6. Il parle de AJH en disant que lorsqu’il a commencé à s’intéresser aux documents Oummo, c’était « au bénéfice des services » je comprends : « les services secrets »). Intéressant, mais il se défendra tout seul s’il veut, en tous cas je ne vois pas l’intérêt.
7. Affaire Brundle Fly, anecdote amusante d’un quiproquo.
8. Il termine en disant « comment un tel dossier a pu tomber en les mains de tels crétins », et l’animateur renchérit « en effet le dossier n’a pas toute l’attention qu’il mérite ».
Franchement c’est abusé !
L’animateur n’a pas conscience qu’il vient de se faire insulter alors il se range à ses côtés, pris de peur, lol.
Surtout, la question a été posée et la réponse était que soit ils choisissaient eux-mêmes les destinataires, soit n’importe qui pouvait décider de s’y intéresser. Sur ce point ils ont toujours été ouverts à tous les publics, sans aucun préjugé. Donc je trouve méchant de critiquer les destinataires qui ont été contactés, ou les personnes qui s’y sont intéressées.
O6-78
– Comment rejoindre un de ces micro-groupes ?
– Destinataires postaux/Co-optation
Mais on y travaille, on y pense, on cogite et on discute, toute l’année, cela emplit nos vies, c’est déjà une très bonne chose !
Il y a seulement que si on y travaille en partant du principe que tout est vrai, on se plante, et si on part du principe que tout est faux, on se plante aussi. Ce n’est pas facile ! Chaque sujet, chaque thème, doit faire l’objet d’une étude particulière, et graduellement, on s’enrichit, et on s’intéresse à des domaines scientifiques dans toutes les disciplines. On se trompe, et on apprend. C’est seulement dommage que JPP ne veuille pas se mêler à des gens qu’il considère comme inférieurs, afin justement de les faire progresser.
A chaque fois il critique « ummo-sciences » en disant qu’il n’y a rien de scientifique, mais c’est faux, il n’y a pas besoin d’un diplôme officiel pour être un scientifique, il suffit d’être curieux et d’avoir envie de savoir, de connaître, de comprendre la réalité de ce monde, et de cet univers dans lequel nous sommes brièvement immergés.
8. En passant, une ou plusieurs des lettres que JPP a prétendu avoir reçue d’Oummo ont été désavouées, mais je dois encore retrouver la source.
Nos visiteurs de UMMO, ont effectivement confirmé qu’ils n’avaient jamais envoyé la moindre lettre à Petit, ce qui est tout à fait logique et cohérent. Une très bonne étude de Jean Pollion a démontré sans équivoque que Petit n’hésitait pas à fabriquer de faux documents pour accréditer sa thèse de propulsion MHD des Ovnis. Extrait de Présence 1 : Le physicien suédois Hannes Alfvén fut le premier à employer le terme magnétohydrodynamique, en 1942. En 1974, le Pr Auguste Meessen imagine que la Magnéto-hydrodynamique peut être le mode de propulsion des Ovnis. Malheureusement, la MHD met en œuvre les forces de Laplace, qui ne peuvent être utilisées que dans un fluide, un gaz ionisable et pas pour la propulsion d’engins de plusieurs tonnes dans le vide sidéral. Cependant, l’idée du Pr Auguste Meessen sera reprise pendant plusieurs décennies par Petit. Nous verrons que le principe MHD pourra-t-être utilisé dans l’espace comme bouclier de protection anti-particules et dans l’eau par des sous-marins ou torpilles ultra-secrets.
Cependant, Petit a quand même fait quelques découvertes dans ses 40 ans de carrière, puisque a produit diverses équations concernant la MHD. Pour le reste, la cosmologie, il a fait important travail de formalisation mathématique, basé sur les rapports de UMMO. In fine, je crains que sa découverte majeure, ne soit son nombril.
Intrigues à ummo-sciences-city
[la publication de cette partie ne sera faite qu’ultérieurement dans plusieurs années pour contribuer à établir une vérité historique]
Manipulations expérimentales des Oummains
Comme je l’avais supposé dans Présence 2 en 2012, via les informations qu’ils publient, nos visiteurs font ponctuellement divers tests pour évaluer la capacité de libre arbitre des terriens. Il s’agit de petites erreurs volontaires dans des séries, genre tests de Q.I. ou bien des tests plus ouverts avec des injonctions de respect de confidentialité qui n’ont aucun fondement en réalité, car toutes les informations sont minutieusement contrôlées à la base. J’ai essayé d’expliquer cela pendant 10 ans sur la liste Ummo-Sciences. Malgré les faits que je présentais, de nombreuses personnes ont dissimulé des documents d’intérêt général. Ceci jusqu’à ce que je donne une volée de bois vert à la bande des dogmatiques et que peu de temps après nos visiteurs donnent « l’autorisation » générale à tous les destinataires de diffuser les documents cachés.
Serez-vous étonnés des résultats obtenus par ses manipulations expérimentales des Oummains sur leur évaluation de la capacité de libre arbitre des terriens ?
GR1-6 réception 16/05/2012 diffusé 24/05/2018
Nous utilisons ces erreurs, répandues volontairement, pour mesurer (sans malice), entre autres facteurs, votre degré de crédulité et votre manque d’esprit critique, ce qui vous fait ne pas confronter les sources, les citations originales, les noms associés aux idées. Nous avouons à quel point le résultat est décevant. Vous êtes une espèce grégaire, impuissante face à l’agression de dirigeants doués de persuasion, plutôt que de former des groupes d’individus qui pensent par eux-mêmes…