Les envois de documents sont faits depuis 40 ans depuis divers pays de la planète : France, Espagne, Grande-Bretagne, Canada, Malaisie, Australie, etc. pour des destinataires multiples et variés en fonction du sujet du document.
Leur expéditeur a les moyens de sa mobilité ou il s’agit d’expéditeurs multiples. Un rédacteur unique serait donc déjà âgé de quelques 60 à 70 ans.
Le nombre de sujets approfondis abordés (logique et mathématiques, cosmologie et physique, biologie, neurologie, chimie, etc. ) supposerait un rédacteur unique d’un éclectisme rarissime.
Qualitativement, les sujets abordés sont très souvent à la pointe des connaissances au moment de leur rédaction. Par exemple, en 1966, la description d’un moteur non polluant fonctionnant à l’aide d’une réaction chimique du tétrafluorure de xénon (voir D41-6 et BUUTZ) aurait nécessité à son rédacteur, d’être dans le cercle restreint des chercheurs chimistes ayant suivi la découverte de cette réaction chimique en 1963 par Neil Bartlett à l’Université de la Colombie-Britannique, tout en ayant par ailleurs d’aussi fortes compétences dans une multitudes d’autres domaines.
La première conclusion qui s’impose est donc que les documents ont été rédigés par des rédacteurs multiples et des expéditeurs multiples. La plupart des rédacteurs seraient alors des acteurs de la recherche scientifique, âgés de 60 à 70 ans.
Les quelques 250 documents connus qui constituent plus de 1300 pages font référence à une logique tétravalente. Celle-ci s’applique de manière cohérente à tous les sujets abordés. Dans les documents traitant de logique et de mathématiques, mais aussi dans l’imposant corpus de cosmologie, dans les exposés de nouveaux paradigmes de physique, et aussi dans le langage codifié contenu dans les documents.
La seconde conclusion qui s’impose est que le groupe des rédacteurs qui seraient des acteurs de la recherche scientifique, âgés de 60 à 70 ans, travailleraient nécessairement en étroite collaboration depuis 40 ans, auraient totalement assimilé la logique tétravalente utilisée dans le corpus. Hors, cette logique n’a commencé à être explicitée par Alban Nanty qu’en 2004, puis Norman Molhant en 2005.
Le corpus contient quelques 6000 occurrences de « mots » revendiqués comme émanants de la civilisation extraterrestre Oummaine. Ces « mots » sont donc parfaitement connus et manipulés par les multiples rédacteurs. Hors, les efforts de décodage de linguistes universitaires espagnols, et les multiples études qui suivirent restèrent infructueuses. Il fallu attendre 2002 pour que M. Pollion ait une piste de recherche, puis de 2003 à 2005 pour que moi-même, D. R. Denocla, parvienne à réaliser le décodage exhaustif. Ce langage codé par le groupe de « chercheurs » est structurellement exceptionnel : phonétique, conceptuel et hiérarchisé par imbrication de concepts primaires. Il n’existe aucun langage terrestre de cette nature.
Troisième conclusion qui s’impose, est que pendant 40 ans un groupe très soudé de chercheurs, âgés aujourd’hui de 60 à 70 ans, manipulant une logique tétravalente inédite, aurait aussi utilisé un langage, inventé de toute pièce avec une structure exceptionnelle qui n’avait jamais été découverte auparavant, en cohérence avec cette logique, et avec la totalité du corpus…sans que personne ne puisse dire à qui ou à quoi cela pourrait servir !
La quantité de travail sous-jacente à la production cohérente de ce corpus est donc réellement extraordinaire, et d’un point de vue probabiliste si la seule séquence « OEMMII OYAGAA GAEOAO AIOOYAAO OEMII UIAA OEMII EABAYO WAAM …. IIA » avait été construite par hasard avec les 17 concepts primaires, la probabilité d’obtenir cette combinaison est de : 1 / 17^50 = 1 / (3,33 x 10^61) = 1 / 33,30 milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards !!!
En conclusion, chacun est encore parfaitement libre de CROIRE que les ovnis n’existent pas, que les Crop Circles ne sont pas réalisés par une civilisation extra-terrestre ou que la civilisation Oummaine n’existe pas.